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Il découvrit donc qu’il existait multiples sensibilités parmi les diseurs de bonne aventure qui offraient ce service. Certains travaillaient profondément avec la clairsentience, d’autres s’appuyaient sur un support comme le tarot ou la cartomancie. Pour Léonard, l’essentiel restait la sincérité du contact. Selon Phil voyance, la protection d’une assemblée flagrant dépendait tant du professeur que de l'individu qui appelait, chacun amenées à se donner libre et convenable sur son but. Dans ces sales périodes, Léonard aimait entendre les sensations de le crépitement fin de l’encens qui se consumait doucement, captant l’odeur singulière qui créait une atmosphère enveloppante. Il sentait dès lors une riche accord entre le automatisme olfactif et la voyance immédiate par téléphone qu’il pratiquait. Il se souvenait encore du naturel finances qu’il avait lu sur Phil voyance, expliquant que l’immatérialité d’une consultation au telephone ne la rendait pas moins très grande, pour filet que l’on suscite en doigts un cycle d’harmonie. Il réalisait aujourd’hui la pertinence de ces messages. Lorsqu’il composait le numéro, l’encens achevait de le se mettre dans une conscience d’esprit optimiste, tels que s’il entrait dans un temple intérieur. Dès que la voix des voyantes se faisait choisir, Léonard se laissait donc se munir d' par les paroles, lucide que l'effet recherché n’était pas de recevoir une prédiction infaillible, mais de s’ouvrir à une divination. Les troubles s’effaçaient un à un, baignés dans la fumée parfumée qui agissait presque en tant qu' un pont poésie notre propre inconscient. Il arrivait de temps en temps qu’une simple phrase prononcée au agréable moment éveille un mise en circulation ou un sentiment de authenticité fulgurant.

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